Directives aux auteurs
Le rapport d’étude sera composé de vos articles, visant à éclairer une problématique géopolitique, culturelle ou sociale spécifique, en lien avec la gouvernance, sur la base d’observations de terrain, croisées avec des sources fiables. Destiné à un public cultivé intéressé par les affaires étrangères, il articule faits et réflexions personnelles, tout en respectant les exigences de rigueur et de clarté.
Ce document, d'une longueur comprise entre 4000 et 8000 mots, fera l’objet d’une publication papier et en ligne, et devra respecter des normes sérieuses en matière de rédaction, de référencement et d’intégrité intellectuelle. L'article se distinguera ainsi par son équilibre entre analyse personnelle et documentation rigoureuse.
Pour beaucoup, ce sera peut-être votre première publication. Ces choses restent : tâchez à ce qu’elle soit le meilleur de vous-même. Vous en serez fiers !
Objectif
- Pour votre article, choisissez un aspect abordant une réalité géopolitique, culturelle ou sociale pertinente, dans le cadre d’un rapport de terrain, en rapport avec la gouvernance.
- Veuillez ne pas choisir un sujet ayant trop de similitudes avec un autre membre. Il sera procédé à une revue des sujets préalablement à la session d’étude.
- Votre public cible est une personne intéressée par les affaires étrangères qui voudrait enrichir sa connaissance et son ressenti de ce pays. Vous pouvez par exemple penser à un ou une autre membre-étudiant cultivé·e qui ne serait pas parti·e avec vous. Vous pouvez aussi penser à un ou une spécialiste des affaires étrangères, pas nécessairement très avancé·e dans sa connaissance du pays.
- Le fond doit être constitué d’un mélange entre observations faites durant le voyage, croisées avec des sources fiables.
- Votre article doit comprendre entre 4000 et 8000 mots. Pour comparaison, cette page en compte un peu plus de 3000.
- Votre texte passera dans une machine de détection de générateur de contenu par intelligence artificielle, en plus d’être relu. Si ces outils offrent des magnifiques nouvelles perspectives en termes de productivité et d’accès rapide à l’information, l’Olivaint est aussi une formation qui a pour but de travailler la rédaction et l’écriture. Pensez à un architecte qui apprend d’abord à faire ses maquettes à la main avant de les faire à l’ordinateur. De surcroît, les générateurs de contenus apprenant sur des bases de données de taille astronomique, produisent des résultats lissés, ce qui a pour corollaire de perdre en originalité et personnalité. Tout l’inverse de l’objectif de la note.
- Votre article sera publié en accès libre, avec vous en tant qu’auteur. La publication aura lieu selon tous les standards académiques : version papier disponible (et remise au dépôt légal) et version en ligne disponible en open access sur ce présent site web et référencée sur Google Scholar et autres bases de données.
- Le document doit être fourni dans un fichier éditable (DOC, DOCX, ODT, JATS, XML, Pages, TXT, RTF, MD, TeX, HTML…), mais donc pas de PDF. Il sera mis en page, puis compilé dans le rapport final par nos soins. Le formatage du document fourni ne nous importe peu.
Rédaction
- Cela va sans dire, mais le langage utilisé se doit d’être lisse et courtois : tout propos outrageux est évidemment proscrit.
- Une note stratégique n’est pas une satire, un discours enflammé ou un pamphlet. Cela n’empêche en aucun cas d’occasionnels traits d’esprit si vous le désirez, ni une éventuelle assertion un peu plus assumée. Tout est dans la proportion.
- Veuillez fournir un court abstract d’environ 4 à 6 phrases. Un abstract est un court résumé placé au début d’un document qui présente de manière claire et concise les éléments essentiels du texte. Il sert à informer rapidement le lecteur du sujet traité, des objectifs, de la méthodologie, des résultats principaux et des conclusions.
- Les articles des rapports de session d'étude comportent davantage d’observations personnelles. En d’autres termes, cela ne se limite pas aux seuls faits.
- Veuillez éviter la première personne du singulier et préférer la première personne du pluriel quand vous parlez d’observations que vous avez faites. Veuillez utiliser la troisième personne du singulier quand vous parlez de faits ou que vous référencez d’autres travaux.
- Veuillez éviter les formulations passives quand cela s’y prête. Les phrases courtes sont généralement préférables. Cela n’est pas une injonction non plus : l’objectif recherché est la fluidité. Il ne faut donc pas tomber dans l’excès et que cela nuise au style et – effet inverse de celui recherché – à la fluidité-même du texte. De même, on privilégie les verbes au temps présent.
- Tout tableau ou figure doit avoir un numéro et une légende. Il doit être fait référence à ce numéro au moins une fois dans le texte. En d’autres termes, la figure ou le tableau viennent illustrer un (ou plusieurs) propos spécifiques du texte et ne viennent pas en décorations solitaires.
Exemple dans le texte : « Fixée en 1962, puis entérinée en 1970, la frontière linguistique séparera la Belgique en quatre territoires linguistiques (Fig. 1). »
Exemple de légende : « Fig. 1. Les quatre territoires linguistiques en Belgique. »
- Tout graphique est une figure. Les axes doivent être gradués et ne jamais omettre l’unité de base. Ils sont référencés si les données, la figure elle-même ou les deux, émanent d’une source externe (cf. infra). Si jamais vous le pouvez, on préfère largement les figures en format vectoriel (SVG, EPS, PDF) plutôt que matriciel (JPEG, JPEG, BMP, TIFF, GIF, WEBP). C’est seulement pertinent pour la qualité de la mise en page finale et n’est pas pertinent pour le reste.
- Chaque article doit commencer par une introduction (après l’abstract) et finir par une conclusion (avant la bibliographie). L’introduction mentionne entre autres la structure à venir de la note, pour aiguiller le lecteur dans sa lecture. Elle énonce donc clairement la thèse centrale de la note. Elle balise aussi ce qu’on y trouvera et ce qu’on n’y trouvera pas. La conclusion synthétise les points clés de la note. Elle répond aussi explicitement à l’énoncé de la thèse de l’introduction. Une note doit pouvoir être parcourue en diagonale, en se limitant à lecture de la seule introduction et conclusion.
Un conseil : écrivez-les en dernier. Et terminez enfin par l’abstract. Pensez le reste de votre structure comme si vous deviez donner une présentation orale, cela fluidifie la pensée.
Intégrité intellectuelle
- L’origine des propos se doit d’être clairement identifiable. Chaque assertion étrangère à l’auteur (vous) doit être dûment citée (cf. infra). De même, le lecteur doit pouvoir aisément discerner entre les faits que vous relatez et vos réflexions propres. Ces dernières sont essentielles et font toute la richesse de votre contribution, mais elles se doivent de ne pas passer pour un fait intangible, mais bien pour un propos de votre chef. L’utilisation de la première personne du pluriel dans ce cas (cf. supra) est une manière aisée pour les différencier.
- Une publication n’est pas exempte des règles en matière de protection de données. Si jamais vous utilisez une donnée à caractère personnel et non anonymisée, le consentement explicite et informé de la personne est nécessaire.
- Concernant les innombrables conférences auxquelles nous participeront, une multitude de propos pertinents seront prononcés. Il y a des chances qu’une série de ces échanges soient pertinents pour votre note. Veuillez alors suivre a règle de Chatham House :
« Quand une réunion, ou l'une de ses parties, se déroule sous la règle de Chatham House, les participants sont libres d'utiliser les informations collectées à cette occasion, mais ils ne doivent révéler ni l'identité, ni l'affiliation des personnes à l'origine de ces informations, de même qu'ils ne doivent pas révéler l'identité des autres participants. »
Vous pouvez alors vous citer le propos comme « lors d’une rencontre, il nous a été dit que », ou une autre formulation du même acabit. Si vous voulez néanmoins citer la personne explicitement, veuillez lui demander son autorisation explicitement.
- Hors importance particulière, veuillez ne jamais citer un propos qui a été publiquement retiré ou renié par son auteur. Si vous jugez qu’une telle citation est néanmoins essentielle, veuillez alors préciser dans le texte qu’elle a été retirée ou reniée par son auteur.
- Si jamais vous utilisez un jeu de données, veuillez utiliser la dernière version disponible. On n’utilise jamais de jeu de données marqué comme obsolète par son auteur, sauf si cette version spécifique revêt une importance particulière. Il faut alors aussi justifier cette utilisation.
- Le respect du droit d’auteur est essentiel. Si vous pouvez toujours citer une œuvre accessible publiquement (gratuitement ou non), vous ne pouvez pas nécessairement utiliser directement le contenu de celle-ci. Il vous faut vérifier que la publication autorise la reproduction si vous voulez reproduire son contenu. Vous devez de surcroît vérifier que la licence autorise les modifications si vous ne voulez réutiliser que des éléments (tableau, figure, paragraphe etc.) et non la publication dans son entièreté.
- Tâchez d’être le plus possible conscients de vos biais et d’en tenir compte lors de vos analyses. Faites attention de manière similaire au potentiel biais des sources que vous relatez. Les publications, même scientifiques, restent écrites par des personnes humaines, avec leurs vécus et biais (et les IA apprennent de textes humains).
Références
- Les références académiques (Google Scholar fera votre bonheur) et autres publications émanant d’instituts de données reconnus et sources officielles (institutions internationales, organisation non gouvernementales, textes juridiques et gouvernementaux…) sont largement préférées à des sources internet diverses. Si les juristes connaissent la hiérarchie des normes, les publications sérieuses ont leur équivalent en quelque sorte.
- Les articles de journaux – au sens de « non-scientifiques » (newspaper) - sont les bienvenus (dûment cités), pour autant qu’aucune source de plus grande valeur ne soit disponible. Un article de journal bien rédigé mentionne par ailleurs ses sources pour autant qu’elles soient de nature publique. Veuillez alors les citer.
- Il peut néanmoins être pertinent de citer un article de journal par exemple s’il mentionne une source journalistique protégée, ou pour l’opinion-même du journaliste, par exemple dans un éditorial.
- Un autre cas pertinent peut être dans le cas où une personnalité s’exprime dans une colonne, un pamphlet, un échange/interview. Il faut alors vérifier que ça soit alors bien la meilleure source disponible pour ce contenu : il se peut que la personnalité se soit exprimée plus amplement sur le même sujet dans un essai par exemple.
- Le journalisme d’investigation est aussi un cas où citer un journal non-scientifique est pertinent.
- Pour les purs faits d’actualité, la source originale est souvent à trouver dans les dépêches de presse (Belga, AFP, Associated Press, Reuters, etc. auxquels les journaux se réfèrent), qui ont aussi leur style de citation propre.
À vous de juger au cas par cas quelle source est la plus qualitative pour votre propos.
- Veuillez de façon générale toujours préférer une source originale à une source dérivée.
Exemple : le Courrier International traduit des articles de divers journaux internationaux. Veuillez plutôt citer l’article original, avec ses auteurs et la date de publication originale.
Autre exemple : un article académique mentionne des propos d’un autre article et c’est à ceux-là auxquels vous voulez vous référer. Veuillez alors vous référer au minimum à l’article original (et si pertinent aussi à l’autre).
- Évitez aussi de tomber dans l’excès par rapport à la recherche de source originale. Si votre source est considérée comme suffisamment qualitative, il n’est pas toujours nécessaire d’aller plus loin.
Exemple : vous voulez citer un rapport du GIEC pour un propos spécifique. Lui-même cite des milliers d’articles scientifiques et fort techniques de spécialistes du climat, qui sont des sources bien plus originales que le rapport en question, et dont l’une ou l’autre est probablement à l’origine du propos spécifique auquel vous voulez vous référer. Pas besoin de prendre connaissance de toute la littérature scientifique dans le domaine : le rapport du GIEC suffit.
- Les citations doivent être formattées selon le style auteur-date (Harvard style) avec les références courtes dans le texte (PETITE MAJUSCULES, année) puis complètes en fin d’article, dans la bibliographie par ordre alphabétique des noms de famille des auteurs. Pour les juristes, ce n’est donc pas en notes de bas de page. On peut se charger nous-même des petites capitales et autres détails typographiques, pour autant que les citations dans le texte soient clairement identifiables. En bref, le style Harvard commence par l’auteur (nom de famille, initiales des prénoms), puis la date entre parenthèses, le titre de l’article entre guillemets, le titre de l’ouvrage en italique, l’éditeur, puis les références du volume. Un livre n’a donc pas de titre d’article entre guillemets. Exemple pour une référence à un article d’un précédent rapport d’étude :
Dans le texte : (VOET, 2025)
Dans la bibliographie : Voet, A. (2025). “Le régime politique vietnamien : de la réunification à l’essor économique actuel.” Rapport de session d’étude — Studiereisverslag, Conférence Olivaint Genootschap, vol. 70, pp. 15–26.
Un conseil : de bons logiciels permettent de gérer et formatter automatiquement vos sources, comme Zotero ou Mendeley, ainsi qu’une myriade d’autres outils en ligne de toutes sortes.
- Internet étant une toile mouvante, les citations de sites web cités doivent – en plus de leur date de publication et les auteurs, si existants – mentionner la date à laquelle vous y avez accédé. Cela ne concerne pas les articles de journaux imprimés (disposant d’un ISSN), qui ont leur style de référence propre.
- Tout tableau ou figure de source externe doivent être cités, après vérification préalable des droits (licence qui autorise les modifications et la reproduction). Si les tableaux ou figures sont des créations propres, mais basées sur des données externes, la source statistique doit être mentionnée dans la légende (cf. infra).
Exemple de légende : « Tab. 1. Moyenne des exportations belges en pourcentage du PIB (FMI, 2023). »
- Si les figures ou les tableaux sont directement issus d’une autre source, qui elle-même a compilé et mis en figure des données externes, les deux sources (le créateur de la figure et la source des données) doivent être référencées. La vérification des droits s’applique toujours pour le créateur de la figure (cf. supra).
- Les données doivent être citées explicitement comme des statistiques et non comme la page web qui les présente.
- Pour plus de détail sur le formatage des références bibliographiques dans le style auteur-date, vous pouvez trouver ici un détail pour chaque type de référence.
Liste de vérification de la soumission
Toutes les soumissions doivent répondre aux exigences suivantes :
- La soumission répond aux exigences énoncées dans les Directives pour les auteur·e·s.
- Le document est être fourni dans un fichier éditable (DOC, ODT, TXT…) et pas en PDF.
- Toutes les références ont été vérifiées pour s'assurer qu'elles sont exactes et complètes.
- Tous les tableaux et figures ont été numérotés et légendés.
- Il a été obtenu l'autorisation de publier toutes les illustrations (tableaux, images, graphiques), tous les ensembles de données et tout autre matériel fourni avec cette soumission.
Préfaces
Le Rapport de dession d'étude comporte typiquement deux préfaces : l’une rédigée par le conseil d’administration et l’autre par les étudiants. Par défaut, elles sont préparées par le président de l’association et le président du bureau des étudiants, à condition qu’ils aient participé à la session d’étude ; dans le cas contraire, une autre personne sera désignée. À la différence des articles, chaque préface doit être soumise tant en français qu'en néerlandais.
Merci de ne soumettre votre préface ici que si vous êtes la personne chargée de le faire.
Articles
La soumission d'articles est réservée aux seuls étudiants de la Conférence Olivaint de Belgique ayant participé à la session d'étude.
Mention de droit d'auteur
En soumettant son article, l’auteur déclare et garantit que le texte soumis est une œuvre originale, libre de tout droit appartenant à des tiers, et qu’il en détient l’intégralité des droits d’auteur.
Par cet acte de soumission, l’auteur cède à titre gratuit et exclusif à la Conférence Olivaint de Belgique, association sans but lucratif, conformément aux articles XI.165 et suivants du Code de droit économique (Livre XI – Propriété intellectuelle), l’ensemble de ses droits patrimoniaux sur l’article, comprenant notamment :
- le droit de reproduire l’œuvre, en tout ou en partie, sur tout support, connu ou inconnu à ce jour ;
- le droit de communiquer l’œuvre au public par tout moyen, y compris sa mise en ligne ;
- le droit d’adapter, traduire ou modifier l’œuvre, sous réserve du respect du droit moral de l’auteur ;
- le droit d’exploiter commercialement l’œuvre, y compris par sa vente, sa location ou toute autre forme de commercialisation.
Cette cession est consentie pour le monde entier et pour toute la durée légale de protection des droits d’auteur.
L’auteur conserve ses droits moraux, notamment le droit au respect du nom et de l’intégrité de l’œuvre.
Déclaration de confidentialité
Nous collectons uniquement les données strictement nécessaires à la publication et à la gestion du Rapport de session d'étude et du Contact :
- les articles soumis par les étudiants ;
- les coordonnées des étudiants ayant publié un article (nom, prénom, adresse email) ;
- pour le Rapport de session d'étude, les coordonnées des éventuels relecteurs externes (nom, prénom, adresse email, affiliation éventuelle).
Les données collectées sont utilisées uniquement pour :
- la publication et la diffusion des articles ;
- pour le rapport de session d'étude, la communication avec les auteurs et les relecteurs concernant le processus éditorial ;
- la gestion administrative liée à la publication des articles.
Le traitement de vos données est fondé sur l’exécution de la mission éducative et scientifique de la Conférence Olivaint de Belgique, association sans but lucratif, ainsi que sur la nécessité de gérer la publication académique dans le cadre de ses activités de formation et de recherche.
Vos données sont conservées uniquement pendant la durée nécessaire à la publication et à l’archivage des articles. Une fois les articles publiés et le processus éditorial terminé, vos coordonnées peuvent être archivées de manière sécurisée pour des besoins de référence et de documentation scientifique.
Vos données ne sont communiquées à aucun tiers à l’exception des relecteurs externes, strictement dans le cadre de leur rôle dans le processus éditorial.
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